Oui, ça me rappelle ces bébés indiens qu'on avait baptisés Covid, Corona et, la meilleure, Lockdown (= confinement en anglais).
Les parents sont convaincus que, lorsqu'ils expliqueront à leur enfant pourquoi il s'appelle ainsi, ça le conscientisera sur la solidarité et ça en fera une bonne personne. Hum, hum...
Encore de malheureux enfants qui ne pourront pas acheter un bol à petit déjeuner avec leur prénom inscrit dessus. C'est cruel d'en arriver là. Heureusement, il y a les tribunaux.
» modifié le 5 septembre à 11h07 par Sijavaisujoraipavnu
Alors non il n'est pas conscient de son prénom, mais il a le droit d'avoir un prénom décent. C'est pour ça que certains prénoms sont interdits.
C'est une personne douée de droits peut importe qu'elle soit consciente ou non du préjudice.
Par exemple, c'est pareil pour enfant qui est maltraité alors qu'il est très jeune. Il peut ne pas avoir conscience que c'est mal. Pourtant c'est interdit et heureusement.
(C'est juste un exemple pour parler de conscience et d'intérêt, je ne dit pas que un prénom et des violences sont la même chose)
Mais pour moi le prénom est un choix très important. Si ça lui porte préjudice c'est qu'il ne faut pas l'autoriser...