24 Jan. 2010 16h16
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Sur la masse de ceux bénéficiant d'indemnités, il y a énormément et de plus en plus de personnes non issues de ces filières privilégiées de formation à la chose publique. De plus, le sens moral se perdant de plus en plus, ces personnes n'étant plus guidées, de plus en plus, que par le pouvoir et l'argent... on voit ce que ça donne. Si la politique les passionnne, qu'il l'exerce sans indemnités, bénévolement, ou avec des indemnités symboliques, avec par exemple, le transport public, pour se déplacer, gratuit. Et qu'ils soient contrôlé systématiquement, et sanctionnés lourdement. Sinon, c'est l'engeance qu'on connaît actuellement, et ça ne finira jamais.
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