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15 Avril 2013 16h43
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70 ans, Montréal
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Je suis tout à fait désolée d'avoir touché à ce sujet dans mon commentaire.
J'aurais dû prendre un autre sujet. Je sais pas, prenons par exemple l'exil fiscal. L'idée de base est que l'état perd de l'argent qui lui revient.
Vite, on s'en prend aux «riches» qui sont toujours des «salauds» tandis que les moins nantis sont toujours forcément les bons, et on passe sous silence le fait qu'ils peuvent faire du travail au noir. Mon exemple n'est peut-être pas super non plus!
Je veux dire qu'on ne voit que du blanc et du noir alors qu'il y a des zones de gris. Alors la dictature du prolétariat, je n'y crois pas.
Là où je serais prête à aller dans la dictature du prolétariat, c'est quand, en période électorale, un parti promet telles et telles choses, mais ne les mets pas en pratique lorsqu'il est élu. Là, je serais assez d'accord pour qu'il y ait un référendum sur ces promesses pour que les électeurs ne soient pas floués. Ce serait une sorte de non pas «dictature», mais de mise en garde faite aux politiques pour qu'ils fassent ce qu'ils ont promis.
» modifié le 15 avril à 17h19 par Sardina
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Et si j'ai parlé d'exil fiscal, c'était dans le but de donner un exemple au sujet de la faisabilité de la dictature du prolétariat. 
