10 Aout 2012 18h42
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Et pourtant je n'arrivait pas à éliminer l'anxiété qui avait régné dans mon esprit ces dernier mois. Edward, prenant conscience de ma tensions carressa ma joue, et m'entraina dans notre chambre. Ce fut aussi parfait, aussi intense et aussi doux que les fois précédentes, mais pourtant incroyablement différents. Nous étions sereins, paisibles, tranquilles car conscients que la menace avait disparu, et que la vie des êtres que nous chérissions n'était plus en danger. Les mouvements s'enchainaient dans une grace infinie et nous fument presque déçus de voir les rayons du soleil percer à travers les rideaux de la chambre.
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