31 Jan. 2011 0h37
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Bon, je me serais fait un sacré week-end foot, au final. Pour l'OM, je ne les vois pas en principaux rivaux de Lille. Pour moi, c'est le PSG qui peut être le plus gênant, car ils ont un assez beau jeu, ils vont jouer Lille au Parc sur la phase retour, et ils m'ont beaucoup plu sur la plupart des matchs où je les ai regardé (Dortmund, Lens, Monaco, entre autres... ils m'avaient déçu à Lille où ils avaient bétonné, et à Séville où ils se sont fait marché dessus, mais leur victoire là-bas montrent qu'ils ont un moral fort pour vaincre dans la difficulté). Marseille a encore été moyen ce soir, Dugarry parle de "rechausser les crampons" , ça, ça m'a fait marrer... Un super enchainement contrôle-frappe de Rémy sur ce match au fait, très mignon à voir, mais ça a pas fait but. Dommage... à noter, la super attitude de Rémy face aux abrutis du CFC (Enfin, Menés-Dugarry), on dis que les footballeurs sont pas éduqués, mais franchement, garder son calme face aux "questions" de Menés et à la diatribe de Duga, qui a oublié qu'il a jamais marqué plus de 10 buts en une saison, il fallait le faire...
Sinon, le match du soir : l'Espanyol Barcelone recevait Villareal à El Prat, match plaisant, avec un bijou de Rossi pour l'ouverture du score face à Kameni. Il s'amène bien le ballon sur une belle ouverture de Cazorla et place une mine sous la barre dans un angle impossible. C'était quand même le 5éme qui recevait le 3éme, et il y a eu du beau spectacle. Superbe milieu de terrain à Villareal, les Cazorla, Cani, Valero, c'est un petit barça. Mais l'Espanyol a très bien joué aussi... Au final, un petit 1-0, mais bon, on a vu du foot.
A surveiller, côté Espanyol, le petit Callejon, un jeune attaquant espagnol bien technique, qui joue en soutien de l'avant-centre... Il s'est entre autres permis un petit pont à la "je te fixe, je te fixe, ben ferme les jambes... Non? Tant pis..." sur Capdevilla, mon p'tit latéral préféré, qui a part cette humiliation passagère, a encore montré sa qualité de passe avec quelques ouvertures d'une subtilité toute espagnole, et son flegme à la 90éme, quand il prend le temps de contrôler de la poitrine au lieu de dégager comme un bourrin dans une surface bondée.
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