13 Fév. 2016 19h13
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Chapitre continuant : le corbeaux blanc.
"J'ai participé à ça libération"
Les larmes montèrent au yeux du jeune homme, il serra les poing, et leva son bras au dessus de sa tête, prêt à envoyé son poing d'une force incontrôlable dans le visage d'Ixcis.
Celle ci l'observa longuement.Elle se releva,
Souffle lent et contrôlé, un regard long et haut, elle replaça lentement le col de sa veste autour de son cou, Ota ne remarqua qu'à présent la tenue de la blonde.
Un somptueux costume à la fois moulant et ample, soulignant une beauté masculine et froide. L'image de Rapisura se superposa sur Ixcis dans l'esprit du vampire, qui ne pu se résoudre à frapper une amie qu'il n'avais pu protéger.
La blonde, observa longuement le mage devant elle.Une bague au écriture typiquement scandinave incruster sur une bague au saphir taillé en forme de larme au niveau de son annulaire main droite.
-Pourquoi...Pourquoi as-tu libéré se monstre ?!
"En tuant Rapisura, vous avez tuez une partie de l'âme du père, car oui, il en à encore une."
-IL N'Y AVAIS PAS D'AUTRE SOLUTION ?!
Ixcis arqua un sourcil et releva la tête, menton haut. Un corbeau se posa au niveau de la fenêtre, au fur et à mesure que la blonde s'approcher de celle ci, le corbeau viré au blanc. Ota resta sur la défensive, prêt à bondir au moindre problème.
Le corbeau au yeux ruby, (comme si il était devenus albinos) croassa à la vue du vampire,et voleta jusqu'à l'épaule d'Ixcis qui avais ouvert la fenêtre. Il se posa ainsi en douceur, et Ixcis sourie légèrement. Elle se tourna vers Ota, avec une grâce infinie, et se dirigea vers lui d'un pas aérien.
-Le problème avec vous... C'est que vous avez défier la mort, et êtes revenus à la vie. Vous n'êtes cependant plus humains... La sensations de ne pas pouvoirs perdre la vie en vieillissant tranquillement...En sachant pertinemment qu'un jour, vôtre corps lâchera...
Si vos compagnons sont si joyeux.. C'est parce qu'il savent qu'ils ne pourrons jamais contré les lois de la nature, et que la vie pourrais les tuer d'un seul coup. Ainsi, je veux savoir, ce que cela fait de se savoir immortel ...
Ota paru déconcerté, et il fronça les sourcil, alors interpellé.
"Mais si vous devez veiller sur les humains, comment ne pas être immortel ? Et.. Et Rapi ?! Elle n'était pas humaines !"
(Musique : https://www.youtube.com/watch?v=mSZ4hEk8_Dw )
-Pour la première question, je vous répondrez ceci : Pour pouvoir veillé sur un humain, il faut l'être... C'est ainsi que je mourrais avec dignité dans ma vie de mortel... Ensuite, pour Rapisurazuri....
Ota frissonna au prénom prononcé par Ixcis. Elle avait prononcé ce nom avec une tendresse presque maternel.
"Rapisura avait gardé sont humanité. Si elle pouvais paraître froide parfois, c'est qu'elle se savais surveillé par la mort."
-Surveillé par la mort ?
"Elle était atteinte par une maladie, touchant les tissu de la peau, la mémoire, et la vision. Et même si elle était à la fois démone et divinité, je ne sais comment, mais ces parents lui avais aussi léguer une part d'humanité.
En temps que démon, si l'on veux connaître le pécher des hommes, il faut entré dans leurs tête, de même avec les Dieux pour rassuré l'humanité. Vous Ota... N'avez plus rien de cela. Voyez, chaque homme et femme de cette guilde semble insignifiant pour vous niveau puissance. Rapisura respecté ces compagnons au niveau de puissance, car sa part d'humanité lui chuchoter : "Si ils se battent pour toi, c'est qu'ils ont la puissance de t'anéantir."
Ota fut au bord des larmes, mais, il pleuré ?! Il était en colère ?! Il était joyeux ?! Il avais tout d'un humains !
"Alors pourquoi est-ce que j'ai gardé mes émotions, hein ?!"
Ixcis parut désolée.
"Parce que vous êtes tellement puissant que sans ces émotions, tout vous parraîtré bien fade. En somme, vous vous moquez inconsciemment de vôtre prochain."
Ota : C'est faux, je les considère comme mes amis et...
"L'être éternel envie le mortel de sa courte vie faites d'un bonheur simple et surprenant
C'est dur d'échouer, mais c'est encore pire de ne jamais avoir essayé de réussir."
Ota tomba à genou, en pleur.
"En quoi ais-je échouer...?"
"Le jour où vôtre coeur c'est mis à battre plus vite..."
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