22 Sept. 2010 11h49
Soutien Quizz.biz, Super Premium, Modérateur
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On n'écrit pas, Y a t'il mais Y a-t-il. On n'écrit pas sera-t'elle mais sera-t-elle.
Trouvé sur le Net et tous les exemples que j'ai trouvés disent la même chose.
A noter également le n apostrophe après le On.
On écrit, On n'écrit pas, mais pas, On écrit pas.
A propos du "On", (encore trouvé sur le Net.)
L'accord avec le pronom on dépend largement de ce à quoi il se rapporte.
Lorsque on = tout le monde, les gens en général, on remplace le il et est de la troisième personne du singulier. On notera que cet usage de on est soutenu.
- Dans ce pays on dîne à 20h. - On dit que de tous les peuples de la Gaule les Belges sont les plus braves.
On peut également se mettre à la place de nous. L'accord se fait alors comme si le on était de la première personne du pluriel avec les participes passés. Cet emploi de on se fait à l'oral. On préfère largement utiliser le on à la place du nous à l'oral.
- on est allés à la plage hier, j'en suis encore fatigué. - on est rentrés tard cette nuit.
Dans un sens proche de l'ironie, on peut également se mettre à la place de tu et vous. Il remplace alors une deuxième personne.
- C'est à cette heure-ci qu'on arrive. - Alors, on n'a pas fait aujourd'hui ?
Enfin, le tableau ne serait pas complet si on ne remplaçait pas le je. L'accord est alors comme la première personne.
- Deux secondes, on arrive.
- On fait ce qu'on peut.
Dans toutes les conjugaisons de on, la marque de la personne se fait uniquement sur le participe passé. Le verbe ou l'auxiliaire est toujours à la troisième personne du singulier.
Au fait : "Y a-t-il un pilote dans l'avion de la grammaire ? "
On n'en est pas sûrs...
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