La journée internationale de la météorologie commémore l’entrée en application de la Convention qui a institué l’OMM (Organisation météorologique mondiale), le 23 mars 1950.
L'économie mondiale, dans de nombreux domaines, est sensible à l'influence du temps.
En 2000, l’Organisation des Nations unies a incité ses membres au respect de l'environnement, en pensant notamment aux populations qui n'ont pas accès de manière durable à l'eau potable, et en raison des risques climatiques, à favoriser la prévention pour améliorer la qualité des interventions liées aux catastrophes naturelles.
Les progrès accomplis, grâce aux radars et satellites utiles à l'observation à distance ont permis aux scientifiques de mieux comprendre les processus physiques qui se produisent dans l’atmosphère et les océans ainsi que leurs interactions avec les autres composantes du système terrestre.
Ces progrès techniques ont donné lieu à une remarquable amélioration quant à l’exactitude des prévisions et des alertes météorologiques. Il est désormais possible d’établir des prévisions fiables sur 7 à 10 jours dans les régions extra tropicales et sur 3 à 4 jours dans les régions tropicales.
De nouveaux risques interviennent, dus à la concentration accrue de gaz à effet de serre engendrant le changement climatique, l’appauvrissement de la couche d’ozone, l'amenuisement des ressources en eau douce et la pollution des eaux.
On peut constater de plus en plus de phénomènes météorologiques extrêmes, inondations, sécheresses, cyclones, vagues de chaleur ou de froid, constituant une véritable menace pour le développement durable.
On sait de source sûre que le nombre des catastrophes naturelles liées au climat a triplé durant ces trente dernières années.
Je vous laisse jouer ce quiz de culture générale, bien moins scientifique et à la portée de tous, sur la pluie et le beau temps !