Question 1 / 20

Nous sommes en 1775. La "guerre des farines" éclate. Il s'agit d'émeutes paysannes, à cause du prix trop élevé du pain. Où es-tu situé par rapport à cela ?

Tu y prends une large part, tu fais partie des émeutiers.

Tu restes indifférent à cela. Ce problème n'est pas le tien alors tu t'en moques.

Tu trouves ces révoltes légitimes et soutiens les émeutiers.

Tu voudrais réprimer durement ces révoltés.

Question 2 / 20

Dans quel monde vis-tu ?

Celui de la 'basse société'. Tu es paysan, ou ouvrier, tu travailles jusqu'à épuisement et n'arrive pas à nourrir ta famille.

Celui des bourgeois. Tu es avocat, médecin ou notable ; tu travailles dur et vis confortablement.

Celui des privilégiés. Très riche, tu dépenses. Fêtes, jeux, bals, intrigues de la Cour sont ton quotidien.

Celui des 'éclairés' et des cultivés. Tu fréquentes des salons de pensée, écoute ces philosophes, les Lumières...

Question 3 / 20

Louis XVI, le roi, ne sait plus comment faire face au déficit de la France. Il convoque les États-Généraux.

Tu te dépêches de te faire élire député ! Tu pourras ainsi donner ton avis, et tu veux des changements, des réformes.

Tu es élu député de ta province. Tu applaudis vivement le roi quand il apparaît.

Tu ne te fais pas élire, mais tu ne manqueras rien des événements.

Tu ne te fais pas élire, tu t'en fiches, tu resteras au fond de ta province, tout cela ne te concerne pas

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Question 4 / 20

Les députés du tiers état se sont proclamés Assemblée nationale. Ils se réunissent dans la salle du Jeu de paume.

Tu les suis, enflammé, et prononces avec enthousiasme le serment de donner une constitution à la France

Tu les as menés.

Tu es ravi d'apprendre que ceux que tu as élus sont actifs et déterminés.

Tu veux réprimer ces hors-la-loi qui osent défier l'autorité royale !

Question 5 / 20

Le roi a renvoyé Necker. Quelle est ta réaction ?

Dès que tu l'apprends, tu appelles à l'insurrection !

Tu es à la fois stupéfait et furieux.

Tu es ravi de cette nouvelle ! Mais le peuple se rebelle... Il faut réprimer ce peuple.

Tu vois les insurrections commencer et tu y prends part.

Question 6 / 20

13 juillet 1789. Les Parisiens s'arment, prennent les Invalides. 14 juillet 1789. Les Parisiens prennent la Bastille.

Tu fais partie de ceux qui se battent pour la liberté !

Tu assistes, ravi, au spectacle.

Tu es effrayé par cette violence, et par le sort du pauvre de Launay...

Tu es furieux ! Le peuple est hors-la-loi ! Tu veux tous les pendre, leur montrer la puissance du pouvoir royal... Mais tu n'es pas le roi.

Question 7 / 20

La nuit du 4 août 1789, les privilèges des nobles sont abolis. Quelle est ta réaction ?

Quelle belle victoire ! Tu es tout prêt à recommencer.

Enfin, l'égalité pour tous ! Voici ce que tu voulais accompli.

Ce n'est qu'un début ! Tu conduiras toi-même l'insurrection, tu obtiendras bien plus encore !

Ulcéré et révolté, tu exprimes toute ta colère.

Question 8 / 20

La révolution continue d'entraîner la majorité du peuple. Le 26 août, la "Déclaration des droits de l'homme et du citoyen" est adoptée.

Enflammé, tu exultes ; maintenant, la liberté et l'égalité sont proclamées.

Voilà enfin accompli ce que tu désirais. Tu triomphes.

Cette Déclaration te laisse indifférent.

Tu es à la fois scandalisé et outré. C'en est trop, ça devient dangereux ; tu décides d'émigrer.

Question 9 / 20

Dans la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen, on retrouve plusieurs principes. Auquel t'identifies-tu le plus ?

La liberté

L'égalité

La fraternité

Tu déteste cette Déclaration. Vive le Roi !

Question 10 / 20

Pour ta cause, qu'es-tu prêt à sacrifier ?

Tes privilèges

Ta famille et tes proches

Ta popularité

Tout

Question 11 / 20

Nous sommes le 14 juillet 1790. Journée "anniversaire de la Révolution", une fête est organisée ; la Fête de la Fédération. La Fayette jure sur l'autel de la patrie en tant que chef des gardes nationaux.

Cette fête est magnifique ! Tant de fraternité ! Tant de joie !

Ridicule. C'est une insulte à l'autorité du roi, et La Fayette est ridicule.

Tu restes impassible, mais tu n'approuves pas. Ces gens qui pensent que la Révolution est finie...

Sublime !

Question 12 / 20

Chacun veut qu'on l'écoute, être suivi. De quelle manière te bats-tu ?

Tu parles à l'Assemblée. Grand orateur, tu sais enflammer les foules.

Tu écris à travers un journal. Tu es doué pour écrire. Et on lit ce que tu dis.

Tu sors les armes pour te battre. Tu es mauvais orateur mais tu sais te battre.

Tu es à la fois corrompu et corrupteur ; c'est de cette manière que tu es monté au pouvoir.

Question 13 / 20

21 juin 1791 : la famille royale s'est enfuie, s'évadant du palais des Tuileries !

Il faut absolument les rattraper et les arrêter ! Et ramener le Roi, éviter le pire !

Tu fais ton possible, discrètement, pour favoriser la fuite du roi.

Tu t'élances derrière eux ; tu veux agir, et les retrouver !

Tu soulèves le peuple en clamant que le roi a trahi le peuple !

Question 14 / 20

Le roi et sa famille ont été arrêtés à Varennes et ramenés à Paris. Certains veulent le destituer, d'autres le remettre en place. Quelle est ton opinion ?

« Pur » républicain, tu veux la déchéance du roi.

Tu es un modéré, tu veux une monarchie constitutionnelle, tu veux garder le roi.

Royaliste, tu veux remettre le roi avec tous les pouvoirs qu'il avait, avant 1789, et punir sévèrement les républicains.

Question 15 / 20

Le 10 août 1792, les Parisiens et fédérés marseillais et bretons prennent les Tuileries. Le roi est démis de ses fonctions. En septembre, la 1re République est proclamée.

Enfin, plus de roi ! Enfin, la République !

Tu commences à te demander si ce n'était pas mieux avant.

Tu ne supportes pas cela ; la France est détruite. Tu décides d'émigrer.

Derrière la frontière, tu t'inquiètes pour le roi et sa sécurité.

Question 16 / 20

Première victoire de l'armée révolutionnaire à Valmy !

Tu savais que rien ne pourrait résister à la Révolution !

Tu fêtes cette grande victoire

Tu espères les défaites de la France révolutionnaire. Tu veux, avec les émigrés, aller délivrer Paris et le roi

Question 17 / 20

21 janvier 1793, à 10 heures ; Louis XVI, roi des Français, est guillotiné.

C'est la fin ! Tout est fichu...

Tu as essayé de le sauver, sans réussir...

Tu exultes ! Le tyran est mort !

La Révolution est arrivée à sa conclusion.

Question 18 / 20

As-tu à craindre la guillotine, toi aussi ?

Tu es déjà sur la liste des 'traîtres', si tu revenais en France tu serais immédiatement condamné à mort.

Rien n'est sûr, si même le roi a été tué, personne n'est à l'abri... Tu as peur.

À trop te faire entendre, oui.

Non ! Fidèle patriote, jamais tu n'auras à craindre la guillotine !

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Question 19 / 20

En Vendée, la population se soulève contre la Révolution. La grande armée catholique et royale enchaîne les victoires.

Tu te bats dedans, tu les conduits. Tu veux le retour d'un roi.

Tu espères que cette insurrection ne sera pas écrasée par les soldats révolutionnaires.

Tu fais tout pour écraser cette révolte.

Tu commences à douter.

Question 20 / 20

Tu as été accusé de « trahison ». Jugé, tu es condamné à être guillotiné.

Avant que l'on t'attrape, tu as réussi à t'enfuir.

Tu te suicides avant qu'on te tue.

Tu montes, tremblant, à l'échafaud.

Tu montes dignement à l'échafaud.

Test Quel grand personnage de la Révolution es-tu ?