Sources

fr.wikipedia.org/wiki/Rutebeuf

fr.wikipedia.org/wiki/Lucie_Delarue-Mardrus

fr.wikipedia.org/wiki/Edmond_Haraucourt

fr.wikipedia.org/wiki/Charles_Ier_d%27Orl%C3%A9ans

Saurez-vous quelle femme fut la première écrivaine française ?

MKB1

106 joués - 2 jours

Connaissez-vous bien Albus Dumbledore ?

GabrielleChene

32 joués - 2 jours

Les charognards dans ''Les Royaumes de Feu''

Gloria.Lune.Claire

9 joués - 2 jours

Devinettes LGDC - Cycle 1 - Tome 1

Sagara28

23 joués - 3 jours

LGDC - Trouve ces personnages

Mangeuse2Pizza

21 joués - 4 jours

Hermione, Ginny ou Luna ?

LunaChicaneur

47 joués - 4 jours

Connais-tu bien le premier tome de GDCP ?

Wshcquoi

9 joués - 4 jours

Poil d'Écureuil ou Feuille de Lune ou les 2 ?

Epines-de-Glace

13 joués - 4 jours

Quiz sur Hermione Granger !

LunaChicaneur

65 joués - 4 jours

QCM spécial Ailes de Mer

Team.Ailes.de.Pluie

9 joués - 4 jours

Connais-tu bien 'LGDC' ?

24 joués - 4 jours

14 joués - 4 jours

15 joués - 4 jours

Connais-tu Ginny Weasley ?

LunaChicaneur

57 joués - 6 jours

Vrai ou faux sur Albus Dumbledore !

Hedwigepotter

54 joués - 7 jours

1^er	Fahrenhheit	100% (60s)
2^ème	Kintosh06	100% (138s)
3^ème	Crss	100% (242s)
4^ème	Joc29	90% (144s)
5^ème	Fozzie	90% (163s)
6^ème	Myzombi	85% (89s)
7^ème	LouiseB29	85% (137s)
8^ème	Perluche	85% (184s)
9^ème	Wallace13	85% (255s)
10^ème	Frolo	80% (131s)

Quiz Les vers célèbres

Mignonne, allons voir si la rose
Qui ce matin avoit desclose
Sa robe de pourpre au Soleil,
A point perdu ceste vesprée
Les plis de sa robe pourprée,
Et son teint au vostre pareil....

Que me font ces vallons, ces palais, ces chaumières,
Vains objets dont pour moi le charme est envolé ?
Fleuves, rochers, forêts, solitudes si chères,
Un seul être vous manque, et tout est dépeuplé !

Ô rage ! ô désespoir ! ô vieillesse ennemie !
N'ai-je donc tant vécu que pour cette infamie ?

Lorsque avec ses enfants vêtus de peaux de bêtes,
Echevelé, livide au milieu des tempêtes,
Caïn se fut enfui de devant Jéhovah..........L'oeil était dans la tombe et regardait Caïn.

Je ne t'ai point aimé, cruel ? Qu'ai-je donc fait ?
J'ai dédaigné pour toi les voeux de tous nos princes,
Je t'ai cherché moi-même au fond de tes provinces ;
J'y suis encor, malgré tes infidélités......

Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage,
Ou comme cestuy-là qui conquit la toison,
Et puis est retourné, plein d'usage et raison,
Vivre entre ses parents le reste de son âge !

Là, tout n'est qu'ordre et beauté,
Luxe, calme et volupté....

Frères humains qui après nous vivez,
N'ayez vos cœurs contre nous endurcis,
Car, si pitié de nous pauvres avez,
Dieu en aura plus tôt de vous merci....

Les sanglots longs
Des violons
De l'automne
Blessent mon cœur
D'une langueur
Monotone....

Sous le pont Mirabeau coule la Seine
Et nos amours
Faut-il qu'il m'en souvienne
La joie venait toujours après la peine...

Je m'en allais, les poings dans mes poches crevées ;
Mon paletot aussi devenait idéal ;
J'allais sous le ciel, Muse ! et j'étais ton féal ;
Oh ! là ! là ! que d'amours splendides j'ai rêvées !

Rien n'est jamais acquis à l'homme Ni sa force
Ni sa faiblesse ni son coeur Et quand il croit
Ouvrir ses bras son ombre est celle d'une croix
Et quand il croit serrer son bonheur il le broie
Sa vie est un étrange et douloureux divorce
Il n'y a pas d'amour heureux...

Que sont mes amis devenus
Que j'avais de si près tenus
Et tant aimés
Ils ont été trop clairsemés
Je crois le vent les a ôtés
L'amour est morte
Ce sont amis que vent me porte
Et il ventait devant ma porte
Les emporta ....

On voit tout le temps, en automne,
Quelque chose qui vous étonne ,
C'est une branche tout à coup ,
Qui s'effeuille dans votre cou.
C'est un petit arbre tout rouge,
Un , d'une autre couleur encor ,
Et puis partout ,ces feuilles d'or
Qui tombent sans que rien ne bouge.

Partir, c'est mourir un peu,
C'est mourir à ce qu'on aime :
On laisse un peu de soi-même
En toute heure et dans tout lieu.

Le temps a laissié son manteau.
De vent, de froidure et de pluye,
Et s'est vestu de brouderie,
De soleil luyant, cler et beau.

Les chants désespérés sont les chants les plus beaux
Et j'en sais d'immortels qui sont de purs sanglots...

Et rose elle a vécu ce que vivent les roses, l'espace d'un matin...

Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant
D'une femme inconnue, et que j'aime, et qui m'aime
Et qui n'est, chaque fois, ni tout à fait la même
Ni tout à fait une autre, et m'aime et me comprend.

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Mignonne, allons voir si la rose Qui ce matin avoit desclose Sa robe de pourpre au Soleil, A point perdu ceste vesprée Les plis de sa robe pourprée, Et son teint au vostre pareil....

Que me font ces vallons, ces palais, ces chaumières, Vains objets dont pour moi le charme est envolé ? Fleuves, rochers, forêts, solitudes si chères, Un seul être vous manque, et tout est dépeuplé !

Ô rage ! ô désespoir ! ô vieillesse ennemie ! N'ai-je donc tant vécu que pour cette infamie ?

Lorsque avec ses enfants vêtus de peaux de bêtes, Echevelé, livide au milieu des tempêtes, Caïn se fut enfui de devant Jéhovah..........L'oeil était dans la tombe et regardait Caïn.

Je ne t'ai point aimé, cruel ? Qu'ai-je donc fait ? J'ai dédaigné pour toi les voeux de tous nos princes, Je t'ai cherché moi-même au fond de tes provinces ; J'y suis encor, malgré tes infidélités......

Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage, Ou comme cestuy-là qui conquit la toison, Et puis est retourné, plein d'usage et raison, Vivre entre ses parents le reste de son âge !

Là, tout n'est qu'ordre et beauté, Luxe, calme et volupté....

Frères humains qui après nous vivez, N'ayez vos cœurs contre nous endurcis, Car, si pitié de nous pauvres avez, Dieu en aura plus tôt de vous merci....

Les sanglots longs Des violons De l'automne Blessent mon cœur D'une langueur Monotone....

Sous le pont Mirabeau coule la Seine Et nos amours Faut-il qu'il m'en souvienne La joie venait toujours après la peine...

Je m'en allais, les poings dans mes poches crevées ; Mon paletot aussi devenait idéal ; J'allais sous le ciel, Muse ! et j'étais ton féal ; Oh ! là ! là ! que d'amours splendides j'ai rêvées !

Rien n'est jamais acquis à l'homme Ni sa force Ni sa faiblesse ni son coeur Et quand il croit Ouvrir ses bras son ombre est celle d'une croix Et quand il croit serrer son bonheur il le broie Sa vie est un étrange et douloureux divorce Il n'y a pas d'amour heureux...

Que sont mes amis devenus Que j'avais de si près tenus Et tant aimés Ils ont été trop clairsemés Je crois le vent les a ôtés L'amour est morte Ce sont amis que vent me porte Et il ventait devant ma porte Les emporta ....

On voit tout le temps, en automne, Quelque chose qui vous étonne , C'est une branche tout à coup , Qui s'effeuille dans votre cou. C'est un petit arbre tout rouge, Un , d'une autre couleur encor , Et puis partout ,ces feuilles d'or Qui tombent sans que rien ne bouge.

Partir, c'est mourir un peu, C'est mourir à ce qu'on aime : On laisse un peu de soi-même En toute heure et dans tout lieu.

Le temps a laissié son manteau. De vent, de froidure et de pluye, Et s'est vestu de brouderie, De soleil luyant, cler et beau.

Les chants désespérés sont les chants les plus beaux Et j'en sais d'immortels qui sont de purs sanglots...

Et rose elle a vécu ce que vivent les roses, l'espace d'un matin...

Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant D'une femme inconnue, et que j'aime, et qui m'aime Et qui n'est, chaque fois, ni tout à fait la même Ni tout à fait une autre, et m'aime et me comprend.

Mignonne, allons voir si la rose
Qui ce matin avoit desclose
Sa robe de pourpre au Soleil,
A point perdu ceste vesprée
Les plis de sa robe pourprée,
Et son teint au vostre pareil....

Que me font ces vallons, ces palais, ces chaumières,
Vains objets dont pour moi le charme est envolé ?
Fleuves, rochers, forêts, solitudes si chères,
Un seul être vous manque, et tout est dépeuplé !

Ô rage ! ô désespoir ! ô vieillesse ennemie !
N'ai-je donc tant vécu que pour cette infamie ?

Lorsque avec ses enfants vêtus de peaux de bêtes,
Echevelé, livide au milieu des tempêtes,
Caïn se fut enfui de devant Jéhovah..........L'oeil était dans la tombe et regardait Caïn.

Je ne t'ai point aimé, cruel ? Qu'ai-je donc fait ?
J'ai dédaigné pour toi les voeux de tous nos princes,
Je t'ai cherché moi-même au fond de tes provinces ;
J'y suis encor, malgré tes infidélités......

Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage,
Ou comme cestuy-là qui conquit la toison,
Et puis est retourné, plein d'usage et raison,
Vivre entre ses parents le reste de son âge !

Là, tout n'est qu'ordre et beauté,
Luxe, calme et volupté....

Frères humains qui après nous vivez,
N'ayez vos cœurs contre nous endurcis,
Car, si pitié de nous pauvres avez,
Dieu en aura plus tôt de vous merci....

Les sanglots longs
Des violons
De l'automne
Blessent mon cœur
D'une langueur
Monotone....

Sous le pont Mirabeau coule la Seine
Et nos amours
Faut-il qu'il m'en souvienne
La joie venait toujours après la peine...

Je m'en allais, les poings dans mes poches crevées ;
Mon paletot aussi devenait idéal ;
J'allais sous le ciel, Muse ! et j'étais ton féal ;
Oh ! là ! là ! que d'amours splendides j'ai rêvées !

Rien n'est jamais acquis à l'homme Ni sa force
Ni sa faiblesse ni son coeur Et quand il croit
Ouvrir ses bras son ombre est celle d'une croix
Et quand il croit serrer son bonheur il le broie
Sa vie est un étrange et douloureux divorce
Il n'y a pas d'amour heureux...

Que sont mes amis devenus
Que j'avais de si près tenus
Et tant aimés
Ils ont été trop clairsemés
Je crois le vent les a ôtés
L'amour est morte
Ce sont amis que vent me porte
Et il ventait devant ma porte
Les emporta ....

On voit tout le temps, en automne,
Quelque chose qui vous étonne ,
C'est une branche tout à coup ,
Qui s'effeuille dans votre cou.
C'est un petit arbre tout rouge,
Un , d'une autre couleur encor ,
Et puis partout ,ces feuilles d'or
Qui tombent sans que rien ne bouge.

Partir, c'est mourir un peu,
C'est mourir à ce qu'on aime :
On laisse un peu de soi-même
En toute heure et dans tout lieu.

Le temps a laissié son manteau.
De vent, de froidure et de pluye,
Et s'est vestu de brouderie,
De soleil luyant, cler et beau.

Les chants désespérés sont les chants les plus beaux
Et j'en sais d'immortels qui sont de purs sanglots...

Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant
D'une femme inconnue, et que j'aime, et qui m'aime
Et qui n'est, chaque fois, ni tout à fait la même
Ni tout à fait une autre, et m'aime et me comprend.