Quiz Les dialogues et les personnages

Le plus souvent qu’est-ce qui forme l’intérêt du dialogue dans un roman  ?

Un simple exercice pour évaluer son dialogue consiste à  :

À quel grand dramaturge appartiennent ces procédés — ne pas écouter les gens qui nous parlent ; les interrompre pour suivre son idée, approuver ironiquement par monosyllabes, ne pas entendre ce qu’on nous dit, recommencer les mêmes raisonnements ; affirmer ce qu’on ne vous conteste pas ; être à côté de la question ; faire des concessions pour mieux riposter ; dire les mêmes choses sous une autre forme ; empêcher les autres de parler — qui tous rendent le dialogue vivant  ?

Qui a écrit  : « Partout. Ce qui compte, c’est la compression. Ce n’est pas tant couper qu’apprendre l’art de la métaphore — et c’est là que ma connaissance de la poésie m’a été d’un grand secours. Il existe un fil invisible qui relie les grands poèmes et les grands scénarios de ce monde  : les uns comme les autres proposent des images compactes. Si vous pouvez mettre le doigt sur la métaphore juste, l’image juste et la mettre en scène, vous tenez là de quoi remplacer quatre pages de dialogue » ?

Un auteur utilise généralement deux leviers majeurs, pour provoquer le plus tôt possible l’empathie du lecteur envers son protagoniste.
Quels sont-ils  ?

Qui a écrit   : « Je crois que l’intrigue est le recours ultime de l’écrivain, alors que le crétin se jette dessus. [...] La situation vient en premier. [...] Je place un groupe de personnages (ou peut-être seulement deux, voire un) dans une situation plus ou moins désagréable et j’observe comment ils font pour s’en sortir. Mon job ne consiste pas à les aider, ou à les manipuler jusqu’à ce qu’ils soient en sécurité – ça, c’est la bruyante méthode de l’intrigue au marteau-piqueur –, mais de regarder ce qui se passe et de l’écrire. [...] Je veux au contraire qu’ils fassent les choses à leur façon. [...] L’histoire est honorable, on peut lui faire confiance ; l’intrigue est sournoise, autant la maintenir en résidence surveillée. »  ?

La meilleure façon de développer un personnage est...

Qu’est-ce qui alimente la dynamique dramatique entre les personnages  ?

Qui a écrit : « Les absurdités de la vie n’ont pas besoin de paraître vraisemblables, parce qu’elles sont vraies ; à l’opposé de celles de l’art qui, pour paraître vraies, ont besoin d’être vraisemblables » ?

Qui a écrit : « la nature humaine est le seul sujet qui n’est pas démodé »  ?