Quiz QCM

Quiz QCM écologie générale : population et communauté

par Rzj

Rzj

1 joués - il y a 3 mois

Quiz idéal pour réviser les partiels.
Bonne chance !

QCM 30 QUESTIONS

expert

QCM : Chaque question peut avoir plusieurs bonnes réponses

Question 1 / 30

En fonction des espèces, le taux de croissance d’une population peut être affectée par :

L'albedo terrestre

L'espace occupé par cette espèce

Le sex-ratio

L'activité humaine

Le temps moyen pour atteindre la maturité sexuelle

Question 2 / 30

Quelle est la définition du mot ''cohorte'' ?

Groupe d'individus d'espèces différentes

Groupe d'individus du même âge

Groupe d'individus de même espèce ne vivant pas sur le même territoire

Groupe d'individus d'espèces différentes vivant sur le même territoire

Question 3 / 30

Cocher la ou les bonne(s) affirmation(s) :

La production de reproduction et de décès dépend de l’âge des individus (pour la plupart des espèces)

La sélection naturelle favorise les traits de vie qui maximisent la descendance survivante et minimisent les coûts énergétiques

Pour chaque espèce il est donc important de trouver un compromis entre le nombre de descendants et l’investissement par descendant

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Question 4 / 30

Qu'est-ce que la sémelparité ?

Un grand nombre de descendants en plusieurs fois

Un nombre de descendants limité en une fois

Un nombre élevé de descendants en une fois, en un seul cycle

Un nombre élevé de descendants par plusieurs cycles de reproduction

Question 5 / 30

Qu'est-ce que l'itéroparité ?

Un grand nombre de descendants en plusieurs fois

Un nombre de descendants limité en une fois

Un nombre élevé de descendants par plusieurs cycles de reproduction

Un nombre élevé de descendants en une fois, en un seul cycle

Un nombre de descendants limité en plusieurs cycles de reproduction

Question 6 / 30

Complétez : ''la sémelparité...

Est surtout possible dans les milieux où les conditions sont variable ou imprévisibles (rejetons nombreux pour augmenter la probabilité de survie ; reproduction favorisée au détriment de l’individu)

Est surtout possible dans les milieux stables (petit nombre de rejetons plus gros et mieux nourris pour augmenter leur chance de survie, mais aussi celle des parents ; reproduction favorisée autant que les individus).

Est surtout dans les milieux communautaires contenant plusieurs espèces

Question 7 / 30

Complétez : 'l'itéroparité...

Est surtout dans les milieux communautaires contenant plusieurs espèces

Question 8 / 30

Cochez les bonnes affirmation(s).

Le modèle le plus réaliste est celui de la croissance logistique

Le modèle le plus réaliste est celui de la croissance exponentielle

Le modèle le plus simple pour décrire la croissance d'une population est celui de la croissance exponentielle

Quelque soit la vitesse de croissance, les populations finissent par atteindre une limite imposée, au moins, par la raréfaction des ressources

Question 9 / 30

Cochez la ou les bonne(s) réponse(s).

Les facteurs dépendants de la densité contrôlent la taille d'une population et dont l'effet s'amplifie avec l'augmentation de la densité de celle-ci

Il n'existe pas de facteur dépendant de la densité

Les catastrophes ou les perturbations (hivers extrêmement froids, des sécheresses, des tempêtes, des éruptions volcaniques) de l’environnement impactent le taux de croissance des populations indépendamment de leur densité.

Le modèle stratégie r/K, proposé par les écologues MacArthur et Wilson, en 1967, explique comment la stratégie de reproduction des espèces est liée à l'environnement.

Question 10 / 30

Cochez la ou les bonnes affirmation(s).

La stratégie K est adoptée par des espèces dont l'habitat est variable ou fréquemment perturbé, l'approvisionnement en ressources imprévisible et les risques élevés : les espèces « parient » sur la reproduction

La stratégie r est adoptée par des espèces dont l'habitat est variable ou fréquemment perturbé, l'approvisionnement en ressources imprévisible et les risques élevés : les espèces « parient » sur la reproduction

La stratégie r est adoptée par des espèces dont les conditions de vie sont prévisibles, avec des approvisionnements réguliers en ressources et des risques faibles.

La stratégie K est adoptée par des espèces dont les conditions de vie sont prévisibles, avec des approvisionnements réguliers en ressources et des risques faibles.

Question 11 / 30

Que dire pour la stratégie K ?

Les espèces investissent dans la survie des jeunes.

Les espèces « parient » sur la reproduction (forte fécondité pour compenser les faibles chances de survie des descendants jusqu'à la maturité sexuelle)

Elle est adoptée par des espèces dont l'habitat est variable ou fréquemment perturbé, l'approvisionnement en ressources imprévisible et les risques élevés

La fécondité est restreinte.

Question 12 / 30

La stratégie r ! Cochez les bonnes réponses.

Elle est adoptée par des espèces dont l'habitat est variable ou fréquemment perturbé, l'approvisionnement en ressources imprévisible et les risques élevés

Les espèces « parient » sur la reproduction (forte fécondité pour compenser les faibles chances de survie des descendants jusqu'à la maturité sexuelle)

La fécondité est illimitée par contre le nombre de descendants est faible

Les humains peuvent être considérés comme des itéropares

Les espèces sont généralement de grandes tailles

Question 13 / 30

Qu'est-ce qu'une communauté dans le domaine de l'écologie ?

Une communauté regroupe un ensemble d'individus appartenant à la même espèce

Une communauté est formée par des individus appartenant à deux ou plusieurs espèces (donc un ensemble de populations) qui vivent au même moment et au même endroit, et qui interagissent.

Une communauté est un ensemble de lieux occupés par une même espèce

Question 14 / 30

Complétez : ''la présence et la persistance d’un pool d’espèces...

Sont liées au potentiel de dispersion des espèces

Requièrent des conditions et ressources appropriées

Requièrent une limitation de reproduction au sein d'une espèce

Requièrent des taux de compétition et de prédation tolérables

Question 15 / 30

Quel est le but de la synécologie ?

Elle étudie les interactions entre les espèces sur plusieurs échelles spatiales et temporelles

Elle étudie les interactions entre les individus d'une population de même espèce

Elle étudie la composition, la structure et la dynamique des communautés formées par des populations d’espèces, dont les individus partagent le même milieu

Elle étudie la reproduction entre les individus d'espèces différentes

Question 16 / 30

Qu'est-ce que le modèle de proie-prédateur ?

C'est un couple d'équations différentielles non linéaires du premier ordre

Il prédit une relation cyclique entre le nombre de proies et de prédateurs

Plus il y a de prédateurs, plus le nombre de proies augmente

C'est un modèle trop simpliste car il ne prend pas en compte lorsqu'il y a une très faible quantité de ressources

Il est aussi appelé modèle Lokta-Volterra

Question 17 / 30

Cochez la ou les bonne(s) affirmation(s).

Les végétaux sont considérés comme des êtres autotrophes

Les animaux sont des êtres autotrophes

Un réseau trophique se définit comme un ensemble de relations alimentaires reliées entre elles au sein d'un écosystème et par lesquelles l'énergie et la matière circulent.

Les hétérotrophes sont obligés de consommer de la matière organique car ils ne sont pas capables d'en synthétiser

Les autotrophes sont obligés de consommer de la matière organique car ils ne sont pas capables d'en synthétiser

Question 18 / 30

Cochez la ou les bonne(s) affirmation(s).

Les pyramides des nombres, les biomasses et les énergies sont des outils visuels pratiques, mais ils ne rendent pas compte de la complexité des réseaux trophiques

Les niveaux trophiques sont des niveaux d'énergies

La coexistence en présence d'un prédateur donne lieu à l'idée d'une chaîne trophique simplifiée

Question 19 / 30

Plus de productivité primaire peut correspondre :

À plus de niveaux trophiques

À plus de territoires

À plus de biomasse/d'individus

À moins de prédateurs

À plus de diversité de système

Question 20 / 30

Le paradigme de la productivité, qu'est-ce que c'est ?

Les pyramides trophiques reposent donc avant tout sur leur base, les niveaux inférieurs contrôlant les niveaux supérieurs.

Ce paradigme souligne l'importance capitale des prédateurs

Ce paradigme est parti du postulat : ''il faut manger pour vivre''

Ce paradigme correspond à la théorie d'un contrôle ''du haut vers le bas''

Question 21 / 30

L'hypothèse top down : cochez les bonnes réponses.

La présence des prédateurs est cruciale

Si les paysages terrestres sont couverts de végétation, c'est parce que les populations d'herbivores qui la consomment sont régulées par les prédateurs.

Cette hypothèse induit un changement de paradigme : ce ne sont plus seulement les êtres vivants qui dépendent de la nourriture disponible, l’inverse est également important

La structure des communautés est en fait un équilibre instable maintenu par les relations « top-down » (régulation des ressources par leurs consommateurs) et « bottom-up » (rétroactions des ressources sur leurs consommateurs).

La présence des prédateurs a un impact négligeable sur la structure des communautés

Question 22 / 30

Une communauté peut être décrite en termes de :

Forme des relations (relations trophiques)

Rapport animaux/végétaux

Distribution dans l’espace et dynamique au cours du temps (exemple : les successions)

Structure (composition en espèces et abondances ou biomasses relatives)

Question 23 / 30

La richesse spécifique : cochez les bonnes réponses.

Il existe la richesse totale, qui correspond au nombre total d'espèces présentes dans une aire donnée

La richesse spécifique peut être étudiée grâce à une courbe espèces-aire qui montre une variation systématique vers la saturation.

Il existe la richesse moyenne, qui correspond au nombre moyen d'espèces présentes dans les échantillons d'un peuplement donné.

La richesse spécifique peut être étudiée grâce au modèle proie-prédateur

La relation espèces-aire peut être utilisée pour caractériser un milieu et/ou une communauté associée, mais aussi pour comparer différentes communautés.

Question 24 / 30

Cochez les bonnes réponses. La diversité spécifique...

Peut être mesurée à travers des indices de diversité

Les indices de diversité sont des données collectées dans chaque zone de l'espace occupé

Les indices de diversité sont des descripteurs statistiques pour caractériser la diversité des peuplements à l’intérieur d’un habitat, d’une aire d’échantillonnage, voire d’un écosystème.

Un indice de diversité est une mesure quantitative qui se définit par 2 composantes : la richesse : nombre dans un système étudié et l’équitabilité : la régularité (dominance et rareté)

Les valeurs des indices augmentent quand le nombre de ''types'' augmente et quand l’équitabilité augmente.

Question 25 / 30

Quel est l'indice de diversité le plus connu ?

L'indice de Gini

L'indice de Shannon

Cet indice s'exprime par la formule : H' = -Σ(pi lnpi) ou H' = -Σ(ni/N*ln(ni/N)) avec ni est le nombre d'individus pour l'espèce i N est l'effectif total (les individus de toutes les espèces).

Cette formule rassemble les valeurs : i : une espèce du milieu d’étude S : nombre total d’espèces = richesse spécifique pi : proportion d’une espèce i dans le milieu d’étude

Cet indice peut se calculer à l'aide de la formule I = 1-2B

Question 26 / 30