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Niveau NORMAL

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1^er	Maaee	90% (526s)
2^ème	Bazs	87% (573s)
3^ème	Braco18	87% (959s)
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5^ème	Elise162	83%
6^ème	Amaandinne	80% (116s)
7^ème	Liloudoubou	80% (474s)
8^ème	Alicev77690	80% (570s)
9^ème	Pauline367	80% (595s)
10^ème	Louise131	80% (627s)

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Quiz Troubles du calcul, 2e logo

La numération romaine est additive et par conséquent faible.

"Zéro" voulait dire vide en sanskrit. C'est lui qui permet de faire une lecture non ambiguë de chaque nombre.

En Belgique, il y a 25 mots pour dire les quantités jusqu'au million compris alors qu'en France il y en a 27.

Nos chiffres sont dits arabes car ils sont d'origine arabe.

Un bébé de moins de 4 mois a déjà la notion de quantité. (Si quantité inférieure à 4)

Piaget a sous-estimé le rôle du langage dans l'apprentissage de la numération et du concept de nombre.

D'après Dehaene l'enfant est conservant avant même qu'il ne puisse l'expliquer. Cela dépend du matériel, du contexte et des questions posées à l'enfant.

Un enfant qui compte systématiquement en disant "1, 2, 3, 4, 7, 10... " produit une portion qui n'est ni stable, ni conventionnelle.

La litanie des chiffres s'acquiert généralement entre 3 et 7 ans.

A 5 ans, l'enfant ne se rend pas encore bien compte qu'il existe des règles syntaxiques (additive et multiplicative).

L'acquisition des particuliers (de 11 à 16) est plus difficile. Car il n'y a pas de lien par exemple entre 10 et 11.

L'acquisition de la chaîne numérique verbale (au moins au niveau de la chaîne sécable) est une condition sine qua non pour l'acquisition du dénombrement.

Au niveau chapelet de l'acquisition de la chaîne numérique verbale, l'enfant peut faire une correspondance terme à terme avec des petites quantités.

Selon Dehaene, les transcodages demandent forcément l'activation de la composante sémantique.

Pour tester la syntaxe en entrée des NVE on peut proposer à l'enfant une tâche de décision. On écrira des mots syntaxiquement corrects ou non et l'enfant devra répondre le plus rapidement possible. Ex : "soixante-dix" en Belgique.

NVO--> NVE correspond à une lecture de numériques verbaux oraux.

Dans le stock des faits arithmétiques, on encode l'opération et la réponse en même temps. Il contient les tables de multiplication et d'addition.

Dans le stock des faits arithmétiques, l'enfant sera capable de commutativité. Par exemple s'il a encore 2 X 5 = 10, il saura donner rapidement une réponse pour 5 X 2.

Mc Closkey a proposé le "modèle du triple code" en réponse au modèle de Dehaene.

Dans le modèle du triple code, le code verbal permet le traitement du langage. Il permet donc l'écriture ou la lecture.

La représentation auditive verbale permet la récupération des faits arithmétiques.

Le jugement de parité d'un nombre se fait grâce au code arabe.

Avec un enfant qui écrit 2001 quand on lui dicte "deux cent un" il faudra repasser par la base 10 car manifestement il n'a pas acquis la numération décimale de position. Son erreur est de type syntaxique.

Le subitizing, le dénombrement et l'estimation globale dépendent de la quantité et du temps qu'on a.

Si on me donne un sachet de fèves et qu'on me dit d'en donner une estimation à l'oral, je passerai alors (selon le modèle de Dehaene) du code analogique au code auditif verbal.

Les dispositions spatiales jouent un rôle non négligeable dans le dénombrement. La progression de la plus facile à la plus difficile est la suivante : 1) disposition canonique, 2) disposition linéaire, 3) disposition circulaire, 4) disposition aléatoire.

Dans la quantification, en cas d'erreur, on a souvent tendance à surestimer.

Gelman et Gallistel donnent 6 principes. Le principe d'ordre stable est le suivant : "Les noms de nombres sont émis dans un ordre identique et conventionnel".

Le subitizing est possible même avec des objets de nature différente.

Le subitizing est l'apanage de l'Homme.

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